Des bouteilles à l’Amère
Horaires
- Toute l’année : les mercredi et vendredi de 16h à 18h et le samedi de 10h à 12h ;
- En juillet et août : du mardi au vendredi de 15h à 19h, et le samedi de 10h à 12h
- Accueil à la ferme avec bar à cidres et jus et vente de produits : ouvert du mardi au vendredi de 15 à 19h et le samedi matin de 10 à 12h (du 16/7 au 31/8)
Contacts
Marc FROCRAIN et Isabelle RICHARD
Lieu dit Kermazuel
29360 Clohars-Carnoët
07 83 03 73 37
contact@desbouteillesalamere.bzh
www.desbouteillesalamere.bzh
Un peu d’histoire
Dans un petit coin de paradis situé entre les ports de Doelan et du Pouldu, sur la commune de Clohars Carnoët, Marc Frocrain et Isabelle Richard ont créé en 2015 la ferme cidricole "Des Bouteilles à l’Amère".
Ayant des racines paysannes dans d’autres régions (Bourgogne, Berry, Jura), Marc et Isabelle ont d’abord exercé d’autres métiers et pas mal bourlingué, avant de "tomber dans les pommes" à la suite d’un coup de cœur pour l’histoire locale qui a fait resurgir leur goût prononcé pour les fermentations et l’expression du terroir. Au point de troquer le vin pour le cidre.
S’appuyant sur ce que Patrick Gourlay leur a transmis lors d’un compagnonnage d’un an, mais aussi de leurs racines et inspirations multiples, ils ont à cœur de mettre en valeur la belle typicité des cidres du pays de Quimperlé et de Clohars Carnoët autant que de leur redonner une place dans la gastronomie terre mer d’aujourd’hui.
Les pommes sont ramassées à la main et à maturité, dans leurs vergers situés entre terre et mer (Clohars Carnoet et Quimperlé). Les sols sont travaillés sans traitement ni désherbant chimique de synthèse. Les fermentations, effectuées exclusivement au moyen de levures de terroir, sont volontairement lentes, avec peu ou pas de recours au soufre. Les prises de mousse s’effectuent en méthode ancestrale.
Leurs cidres, majoritairement brut et extra brut, sont conçus pour la table. De l’apérif au dessert, en passant par de jolies entrées ou des plats réconfortants, il y en a pour tous les palais et tous les moments. Certains fruités, d’autres plus secs et vineux, avec toujours en fil rouge cette volonté d’exprimer le lieu. Comme si amertume, vivacité, fruité, et salinité constituaient une palette de couleur dans laquelle on pioche. Et si, avec le cidre, on parvenait à déguster le paysage ?